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Cependant, vers 1736, le Brésil exportait encore 40 millions de kilog., et les colonies hollandaises de l’Amérique du sud, 20 à 25 millions de kilog. Sur quoi l’exportation a repris 9 millions, 76 mille kilog. La quantité de sucre importé dans la Grande-Bretagne pour la consommation et le raffinage, vers 1731, était d’environ 7 à 800 mille quintaux. La culture entreprise par les Anglais à la Barbade, vers 1641, et poussée par eux, à la Jamaïque, avec beaucoup de vigueur, immédiatement après la conquête de cette dernière île, avait, comme dans toutes les autres colonies, à l’imitation des planteurs portugais, nécessité l’introduction des esclaves d’Afrique. Vers 1775, la Martinique, la Guadeloupe et Cayenne exportaient ensemble environ 22 millions de kilog. 79 millions 533 mille kilog. En 1787, l’importation s’est élevée à 79 millions 337 mille kilog. ’exportation à 9 millions 970 mille. Cet impôt fixe, mis sur deux substances d’un usage si récent, est devenu une des principales ressources de l’empire britannique, et nous verrons qu’il fournit aujourd’hui au trésor près de 200 millions de francs. La seule exception résidait dans les États-Unis, tant qu’il leur fut donné de conserver leur neutralité. Cet échec retentissant n’a pas peu contribué à discréditer l’association de production non seulement en France, mais dans le monde

Le cardinal de Richelieu, auquel il avait présenté son mémoire, n’avait pas voulu entendre parler de ce fou, et Salomon de Caus, raillé, torturé, mourait en effet dans les convulsions de la folie, coupable peut-être d’avoir devancé de deux siècles la plus grande vérité de la science. Il faudrait, de plus, qu’il ne fût pas l’éternelle et universelle aspiration de tous les hommes. C’est un oyseau, qui est aussi appellé Sifleur, & en autres endroits de France est nommé un Groulard : qui est nom deu au Traquet, pource qu’il groule sans cesse : & grouller est à dire se remuër. IL FAIT mauvais aborder les masles de touts animaux sauvages, pendant que les femelles sont en leurs purgations, c’est à dire quand elles sont chauldes : car alors ils se separent de leurs troupeaux, & sens’en vont seul à seul, d’autant qu’ils se combatent entre eux pour l’amour d’elles, comme aussi font violence aux animaux d’autre sexe quand ils les rencontrent, s’ils sont les plus forts. Car ledit possesseur se plaint au Iuge du trouble à luy fait en sa saisine. Fourmage, Caseus. Semble plus raisonnable escrire Formage, car il vient de Forma, qui signifie l'eclisse ou caseret dedans quoy l'on fait le fromage

Nous considérerons successivement : 1o les moyens de propulsion ; 2o les machines à vapeur qui servent à mettre en action ces agents propulseurs. En Amérique et plus tard en France, sur la Saône et sur la Seine, on vit des bateaux à vapeur dont les roues se trouvaient placées soit à l’avant, soit à l’arrière. Le système Bernouilli, qui consiste à refouler à l’arrière des masses d’eau puisées à l’avant, et à faire avancer le bateau par la réaction résultant du refoulement Équipements d'usinage de précision l’eau sous la quille, a été essayé plusieurs fois, aux États-Unis et en Angleterre. Le même système a été soumis dans notre siècle, à différents essais, dont quelques-uns ont échoué. Mais la réussite de l’hélice, agent de propulsion analogue au précédent, les résultats avantageux tout récemment obtenus en appliquant la turbine comme moyen propulseur des bateaux à vapeur sur les rivières et les canaux, tous ces faits montrent suffisamment que le système Bernouilli, c’est-à-dire, le refoulement de l’eau sous la quille, par une pompe foulante, mue par la vapeur, mérite d’être soumis à de nouvelles tentatives, qui seraient peut-être couronnées d’un grand succès

Il n’est jugement humain, si tendu, qui ne sommeille par fois. C’est, qu’ils se sont imaginé qu’il n’est pas impertinent, qu’un oyseau ne puisse bien obtenir deux noms. Il faut en outre, pour les chevaux de cavalerie surtout, qu’ils soient dociles et maniables. De tous ces terrains, ceux qui produisent naturellement les chevaux légers propres à la cavalerie sont les plus étendus, et cependant ces chevaux sont les seuls qui nous fassent souvent défaut. On était loin de penser alors que des désastres plus terribles « viendraient nous absorber au point que toute question ne se rattachant pas à la défense nationale serait inopportune. Outre les qualités en quelque sorte individuelles, les chevaux de troupe ont besoin de posséder ce que nous appellerons les qualités d’ensemble. À cet avantage purement militaire, l’égalité de la taille réunit celui d’être favorable à la conservation des chevaux : les rations et les exercices sont réglés sur la taille réglementaire, de sorte que les chevaux trop grands ne sont pas assez nourris, et que ceux qui manquent de taille se fatiguent pour suivre le régiment. L’uniformité dans la taille suppose l’uniformité dans la force et dans les allures. L’ensemble des mouvemens, l’impulsion de la cavalerie et conséquemment son utilité, disent les militaires expérimentés, reposent sur une réunion de chevaux de même taille et de même nature